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COVID-19 et flore intestinale – Une découverte majeur.

Plusieurs équipes dans plusieurs pays (Chine, France -Lille-, USA) ont fait une découverte majeur qui offre un grand espoir de traitement du covid-19.

Le virus COVID-19 ne tuerait pas directement, mais provoquerait l’infection d’une bactérie intestinale, la Prevotella. Celle-ci est habituellement et souvent retrouvée après une infection des voies respiratoires.

Devenue virulente après l’infection au COVID-19, la Prevotella déclencherait l’hyper-réaction immunitaire qui délabre les poumons et tue le malade.

Cette découverte expliquerait alors pourquoi :

  • Les enfants sont épargnés et les personnes âgées beaucoup moins. La Prevotella est quasiment absente de la flore intestinale enfantine, mais augmente avec l’âge.
  • Les obèses sont plus touchés : Leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella.
  • Les complications pulmonaires se déclenchent alors qu’on ne retrouve pratiquement plus de COVID-19 dans l’appareil respiratoire. La bactérie infectée de manière beaucoup plus dramatique, en déclenchant l’hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui noie les poumons…
  • Le virus Covid-19 peut réapparaître chez un patient guéri (avec alternance de positivité et de négativité des tests), car la bactérie, toujours présente dans la flore intestinale, en reste l’hôte et peut le relarguer à tous moments…
  • Le traitement du Dr. Didier Raoult, utilisant un antibiotique (l’Azithromycine), et celui du Dr Sabine Paliard-Franco, qui préconise une double antibiothérapie, fonctionnent.

Les pistes ultra-prometteuses des traitements à l’Azithromycine, proposés très vite par les Dr Didier Raoult et Dr Sabine Paliard-Franco en association au traitement et le rétablissement de la flore intestinale présentent un intérêt majeur et bon marché et rendrait caduque l’utilisation d’un vaccin probablement onéreux et dont l’efficacité pourrait être remise en question.

À l’origine les traitement du Dr Didier Raoult étaient effectués grâce à la chloroquine, remède antipaludique (contre la malaria). La molécule souche de la chloroquine vient de la plante Artemisia (Armoise).

Artemisia Vulgaris

C’est ainsi que le Dr Munyangi, chercheur et visionnaire congolais à Madagascar et inspirateur du projet  « Covid-Organics » explique comment l’Artemisia protège des Coronavirus. Cette plante a effectivement montré beaucoup d’efficacité contre le paludisme (Malaria) et semble fonctionner aussi contre les atteintes du COVID-19.

Toutefois, étant facile à cultiver et à consommer, elle semble « gêner » les affaires de Big Pharma. Même l’OMS publiait en 2007 les lignes directrices en matière de culture de la plante essentielle utilisée dans les médicaments antipaludiques et tout récemment, en octobre 2019, une nouvelle publication détaillée sur l’utilisation des formes non pharmaceutiques d’Artemisia laissant ainsi entrevoir ce que cache le « business de la malaria« .

La naturopathie quant à elle, considère effectivement le système digestif et plus particulièrement la flore intestinale comme un pilier majeur de l’immunité. La stratégie thérapeutique de fond consiste à rétablir l’équilibre de cette flore intestinale et la perméabilité des parois de l’intestin, souvent très poreuses dans nos civilisations. L’apport de compléments nutritionnels, vitamines et pro-, pré- ou actibiotiques, ainsi que l’adaptation d’un régime alimentaire équilibré sont les garants d’un terrain fort et résistant pour lutter contre ces déséquilibres.

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